« Il a passé une bonne journée ! » : parents et professionnelles de la petite enfance, un pas vers la coéducation
de Martine Gatineau In Métiers de la petite enfance, 194 (Février 2013), p. 18 à 23 Les transmissions du soir sont un moment d’échanges privilégié sur l’évolution de l’enfant dans la journée. Cependant, beaucoup de professionnelles, gênées ou embarrassées, n’entrent pas en contact avec les parents et leur opposent un discours standardisé, une routinisation fondée sur les annotations du cahier de transmissions. Cet outil constitue parfois le seul repère pour la professionnelle, qu’un manque d’écrits pourra paralyser. Les parents quant à eux reçoivent diversement ce qui leur est indiqué : certains s’en contentent, d’autres tenteront d’établir un contact plus spécifique, d’obtenir plus d’informations autour de leur enfant. Pour construire une véritable coéducation, les professionnelles doivent se sentir compétentes, être à l’aise avec les parents et les considérer comme des partenaires. |
Gatineau Martine.
« « Il a passé une bonne journée ! » : parents et professionnelles de la petite enfance, un pas vers la coéducation »
in Métiers de la petite enfance, 194 (Février 2013), p. 18 à 23.
Titre : | « Il a passé une bonne journée ! » : parents et professionnelles de la petite enfance, un pas vers la coéducation (2013) |
Auteurs : | Martine Gatineau, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Métiers de la petite enfance (194, Février 2013) |
Article : | p. 18 à 23 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
Motbis assistante maternelle / communication / crèche / garde d'enfant / parent / petite enfance |
Mots-clés: | cahier de transmission / |
Résumé : |
Les transmissions du soir sont un moment d’échanges privilégié sur l’évolution de l’enfant dans la journée. Cependant, beaucoup de professionnelles, gênées ou embarrassées, n’entrent pas en contact avec les parents et leur opposent un discours standardisé, une routinisation fondée sur les annotations du cahier de transmissions. Cet outil constitue parfois le seul repère pour la professionnelle, qu’un manque d’écrits pourra paralyser. Les parents quant à eux reçoivent diversement ce qui leur est indiqué : certains s’en contentent, d’autres tenteront d’établir un contact plus spécifique, d’obtenir plus d’informations autour de leur enfant. Pour construire une véritable coéducation, les professionnelles doivent se sentir compétentes, être à l’aise avec les parents et les considérer comme des partenaires.
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Nature du document : | documentaire |
Date de création : | 19/03/2013 |